segunda-feira, novembro 10

À minha mãe, pela sua última grande viagem. Bem sei, bem sei que há caminhadas que temos que empreender!






Mes cheveux son gris
- mais ce n'est pas un effet de l'âge,
ni d'une frayeur soudaine
qui fait blenchir la tête
en espace d'une nui.

Mes membres sont deformés
- mais ce nést pas un effet du travail.

(...)

Tel fut mon sort, en effet:
celui d'un homme à qui l'on refuse le droit
de respirer l'air du ciel,
de fouler le sol de la terre.

Or, si j'ai souffert dans les chaînes
et voisiné avec la mort,
c'est pour être resté fidèle à la foi de mon père


Lord Byron, Le Prisonnier de Chillon


(fot. Château de Chillon, Montreux)

À minha mãe, com quem aprendi que também se pode viajar por entre as páginas dos livros!
Mas também gostava de contigo passear...

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