sábado, novembro 22
je vais rêver
Ô toi, souffle éternel de l'âme indépendante,
Tu resplendis plus belle encore, ô Liberté,
Au fond de la prision où tu viens habiter
Lorsqu'un homme, en toi seule, a mis sa foi fervente.
Celui que dans les fers l'unjustice a jeté
Assure à son pays la victoire éclatante.
Plus longtemps dans la nuit il a dû végéter,
Plus haut les vents du ciel te portent, triomphante.
Ô Chillon, ton cachot est pour nous en lieu saint,
Ton pavé, son autel, où se creuse un chemin
Comme dans le gazon foulé d'une prairie.
Ces pas de Bonivard dans sa ronde infinie,
Que nul, jamais, nén vienne effacer le dessin:
C'est un appel à Dieu contre la tyrannie!
Lord Byron, Sonnet sur Chillon
dors bien fais de beaux rêves
"et honni soi qui mal y pense"
(M'a dit Pascale)
Assinar:
Postar comentários (Atom)
Nenhum comentário:
Postar um comentário